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au pays des droits de l'homme et de la transparence

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FirasM
Hopefull
LotusLike
espoir fait vivre
dokary
rosy13
medecin
amimera
12 participants

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amimera



Bonjour à tous ,

Après avoir repris mes esprits suite à mon échec incompris à la PAE en liste c ,j'ai reçu mes notes par courrier postal :une note catastrophique et un parcours à peine égal à la moyenne ; enfin bien bizarre!
après de moultes essais de contact téléphoniques et électroniques avec les responsables des concours au cng tous en vain ,je décide d’envoyer une lettre recommandée avec accusé de réception afin de récupérer mon cahier d’épreuve ;
A ma grande surprise ,on me renvoie une copie non annotée et non corrigée !wahoo
je renvoie alors un courrier recommandé pour réclamer ma copie corrigée
Au bout d'une semaine ,je reçois un coup de fil ( pas d'ecrit,vous l'avez compris ) d'un des responsables du département des concours de la PAE qui en résumé m'explique trois choses :
1 LES corrections sont soumises à un ordinateur
2 la grille de correction est tenue secrète
3 Il n' y a aucune possibilité de joindre les membres du jury car souverains

Mais de qui se moque t on?

A VOS MARQUES !!!




medecin

medecin

amimera a écrit:Bonjour à tous ,

Après avoir repris mes esprits suite à mon échec incompris à la PAE en liste c ,j'ai reçu mes notes par courrier postal :une note catastrophique et un parcours à peine égal à la moyenne ; enfin bien bizarre!
après de moultes  essais de contact téléphoniques et électroniques  avec les responsables des concours au cng tous en vain ,je décide d’envoyer une lettre recommandée avec accusé de réception afin de récupérer mon cahier d’épreuve ;
A ma grande surprise ,on me renvoie une copie non annotée et non corrigée !wahoo
je renvoie alors un courrier recommandé pour réclamer ma copie corrigée
Au bout d'une semaine ,je reçois un coup de fil ( pas d'ecrit,vous l'avez compris ) d'un des responsables du département des concours de la PAE qui en résumé m'explique trois choses :
1 LES corrections sont soumises à un ordinateur
2 la grille de correction est tenue secrète
3 Il n' y a aucune possibilité de joindre les  membres du jury car souverains

Mais de qui se moque t on?

Bonsoir Amimera
Ce que vous dites est vraiment choquant!!! Mais comment peuvent ils soumettre des questions ouvertes à des ordinateurs ? Vraiment je n en reviens pas

A VOS MARQUES !!!




rosy13



vingts lecteurs jusque là ,une réaction : ça aussi c'est bizzare

dokary



J'ai vécu la même chose, sauf que j'ai passé l'épreuve en liste A.
Pareil, la même stupeur et incompréhension devant la note qui m'a été attribuée, je suis convaincue qu'il n y a pas eu correction ou qu'on s'est réellement trompée, c'est pas ma note !!!!
Par contre je n'ai pas essayé de demander ma copie, je savais qu'on me renverrait que la copie non corrigée, à quoi ça sert, je sais très bien comment j'ai répondu à ce maudit concours, !!
Pire il y a un amalgame dégradant à passer un une épreuve pareille, pour qui ? des Médecins!!
Pays des droits de l'Homme je commence à sérieusement en douter!
Avis au syndicat, il faut vraiment que les choses changent dans le bon sens, sinon elles se dégradent de plus en plus, et y a pas photo, on veut nous faire changer de métier, mais gardons la tête haute, c'est tout ce qu'on peut faire à cet instant !!!!

rosy13



Chacun de nous est concerné ou pourrait l'être ,seule l'union fait la force mais à mon message que répondent les élus du syndicat ? suis en attente pas vous?

espoir fait vivre



Je suis choquée de lire ça et surtout vraiment découragée, mais c'est injuste!!, il faut bouger car personne n'est a l'abri!

LotusLike



Désolé mais c'était quoi ta spécialité?!

amimera



LotusLike a écrit:Désolé mais c'était quoi ta spécialité?!


pourquoi me demander ma spécialité . ttes les spécialités sont concernées

Hopefull



C'est toujours le cas, les copies sont corrigées??? aucune idée comment elles sont corrigées. Patience et courage, surtout ne baissez pas les bras.

LotusLike



Non y a des spécialités ou le taux de réussite est bizarrement plus faible que ds les autres ... C'est pour cette raison que je te demande ta spécialité tt simplement!!! Pas besoin d'etre à la défensive comme ca et pas besoin non plus de généraliser !... Y a des grilles de correction , c'est le meme systeme des ENC , jette un coup d'oeil sur ces bouquains et tu verras qu'il y a des mots clés à dire meme si tout ce que tu as mis est correcte et il en manque ces mots là tu n'auras pas une bonne note sans oublier qu'il y a des reponses éliminatoires (PMZ)!!!
Il n'y a pas de correction sur la feuille ce qui est logique car chaque copie est corrigée par 2 membres et chacun note et corrige la copie selon la grille devant lui sans noter ou rien mentionner sur la copie de l'examen pour ne pas influencer l'autre correcteur ... S'il y a une grde difference entre les deux notes on subit la copie une 3 eme correction par un tiers sinon on fait la moyenne des 2 notes s'il n y a pas un grd écart !!
J'ai déjà demandé ma copie au cng et elle etait comme je l'avais écrite sans correction ; ma demande de la grille de correction m'a été refusée , je ne sais pas pkmais bon les ENC m'ont bien aidé l'examen suivant a etre plus précis et bref ds mes réponses , ne pas etre narratif et long , etre pédagogique, logique... Je vous les conseille

FirasM



LotusLike a écrit:Non y a des spécialités ou le taux de réussite est bizarrement plus faible que ds les autres ... C'est pour cette raison que je te demande ta spécialité tt simplement!!! Pas besoin d'etre à la défensive comme ca et pas besoin non plus de généraliser !... Y a des grilles de correction , c'est le meme systeme des ENC , jette un coup d'oeil sur ces bouquains et tu verras qu'il y a des mots clés à dire meme si tout ce que tu as mis est correcte et il en manque ces mots là tu n'auras pas une bonne note sans oublier qu'il y a des reponses éliminatoires (PMZ)!!!
Il n'y a pas de correction sur la feuille ce qui est logique car chaque copie est corrigée par 2 membres et chacun note et corrige la copie selon la grille devant lui sans noter ou rien mentionner sur la copie de l'examen pour ne pas influencer l'autre correcteur ... S'il y a une grde difference entre les deux notes on subit la copie une 3 eme correction par un tiers sinon on fait la moyenne des 2 notes s'il n y a pas un grd écart !!
J'ai déjà demandé ma copie au cng et elle etait comme je l'avais écrite sans correction ; ma demande de la grille de correction m'a été refusée , je ne sais pas pkmais bon les ENC m'ont bien aidé l'examen suivant a etre plus précis et bref ds mes réponses , ne pas etre narratif et long , etre pédagogique, logique... Je vous les conseille


Très bien dit !
Faut prendre en compte qu'il y a beaucoup des Mots clés, et parfois, on ne cite pas certains de ces mots clés - car c'est évident, car c'est noté déjà dans la question, etc- quand il le faut!
Faut développer des réflexes pour chaque question et chaque cas clinique. je vous conseille d'aller consulter les livres de préparation de l'ECN, pour avoir une idée, et développer des modèles automatiques à appliquer.
Vous pouvez trouver pas mal d'exemples, et des cas cliniques corrigés aussi sur www.prepecn.com (mais il faut abonner  pale ).
Bon courage.

12au pays des droits de l'homme et de la transparence  Empty petit point d'ordre 01.03.14 20:01

amimera



Bonsoir à tous,

je ne suis sur la défensive Mr OU Mme, c'est juste que je voyais pas ce que la spécialité pouvait changer dans l'approche de correction . Je vous rappelle que sur le courrier de notification des notes ,en bas de pages on vous invite quasi_cordialement à réclamer votre copie mais ce qu'on ne vous explique pas c'est que vous la recevez vierge déjà et qu'aucune réclamation ne peut être effectuée ,vous appelez ça comment vous?
moi je sais "c'est cause toujours tu m’intéresse" si j'ose dire .
j'ai bossé sur des ouvrages d'ECN autant pour préparer le concours que pour passer en examen ; alors oui ,je dois être bien incompétente mais comment expliquer alors qu'on veuille toujours de nous dans les hôpitaux ?

that is the question? pirat 

Amine



Depuis Egora.fr(http://www.egora.fr)
Numerus clausus : plus facile d'être MG pour les étrangers
Numerus clausus : plus facile d'être MG pour
les étrangers
Système de santé par Laure Martin le 15-01-201422 réaction(s)



Les médecins à diplôme étranger sont de plus en plus nombreux à exercer en France. Et les
médecins généralistes français peinent parfois à obtenir la reconnaissance de leur spécialité.
En
2014, la régulation démographique a des ratés."Je me retrouve parfois dans une situation schizophrénique" , témoigne le Dr Pierre Lévy, secrétaire général de la Confédération des syndicats médicaux français (Csmf). Le généraliste est membre d?une
commission d?autorisation d?exercice des médecins généralistes à diplôme étranger en France, et d?une commission d?appel de qualification des médecins généralistes. Avec cette double casquette, Pierre Lévy constate qu?il est souvent plus facile pour les médecins à diplôme étranger d?obtenir la possibilité
d?exercer en France en tant que spécialiste de médecine générale que pour les médecins généralistes
français diplômés avant 2007 d?obtenir la reconnaissance de leur spécialité.
Deux poids deux mesures ?
"D?après les remontées des médecins membres des commissions, il existe deux poids, deux
mesures entre les médecins à diplôme français et les médecins à diplôme étranger"
, explique le Dr Michel Chassang, président de la Csmf. Pour les diplômés étrangers, les commissions
deviennent généralement de simples chambres d?enregistrement des diplômes, car il existe des accords
entre les pays. Les textes de régulation sont beaucoup plus souples et laxistes pour les médecins à diplôme
étranger que pour les diplômés français, car cette problématique est assimilée à une question de politique
d?immigration, et n?est pas purement médicale et scientifique.
"Les représentants des commissions nous ont avertis de cette iniquité de traitement des dossiers,
ajoute le Dr Roger Rua, président du Syndicat des médecins libéraux (SML).
Mais on ne pensait pas que l?effet numérique serait aussi important."
"Il arrive que des médecins à diplôme étranger qui ont déjà eu une expérience en France comme
praticien adjoint contractuel, en tant qu?urgentiste par exemple, fassent une demande de
légales de durée de leur contrat" , rapporte le Dr Lévy. Comme généralement il s?agit soit de
médecins membres de l?UE, soit de médecins hors UE qui sont parvenus à intégrer la filière européenne
en passant par des pays ayant des critères de qualification plus souples comme l?Espagne ou l?Italie, la
France n?a pas d?autre choix que de les autoriser à exercer, car ils entrent...[pagebreak]
dans le cadre de la directive européenne qualification de 2005. "Le médecin à diplôme étranger qui a
obtenu la qualification de spécialiste en médecine générale peut continuer d?exercer à l?hôpital,
mais rien ne l?empêche de s?installer en libéral où il se retrouve seul, sans la hiérarchie
hospitalière,souligne le Dr Lévy. Or ce n?est pas parce qu?il est un bon urgentiste qu?il réunit les
compétences pour être médecin généraliste en libéral. Il y a des pays comme la Roumanie où la
formation de médecin généraliste se fait en six ans alors qu?en France elle est de dix ans. Mais
nous n?avons aucun contrôle, alors que la sécurité du patient est en jeu."
"Il faut mettre un terme au double discours de la France"
Pour les médecins hors UE, la problématique est similaire. "Il s?agit d?une équation à plusieurs
inconnues, et nous ne pouvons que difficilement évaluer leurs compétences, car nous ne
connaissons ni leur niveau de formation initiale, ni la façon dont ils ont exercé leur métier dans leur
pays d?origine, ni les critères sur lesquels se sont fondés les autres pays pour reconnaître leurs
spécialités", regrette le Dr Lévy. Lorsque les membres de la commission d?autorisation d?exercice
estiment que le dossier d?un candidat n?est pas assez solide, ils peuvent proposer au médecin soit un
examen écrit, soit des mesures compensatoires sous la forme de stages pouvant aller jusqu?à trois ans. Il
doit donc réussir l?examen ou présenter le certificat d?évaluation du stage signé par le chef de clinique.
S?il remplit les conditions, la commission lui donne alors un avis favorable à la reconnaissance de sa
spécialité.
Le Dr Jamil Amhis, président de la Fédération des praticiens de santé (FPS), syndicat représentant les
praticiens à diplôme hors Union européenne (Padhue), et également membre d?une commission
d?autorisation d?exercice des médecins généralistes à diplôme étranger en France, apporte un point de
vue plus modéré, indiquant que la reconnaissance de la spécialité est loin d?être systématique : "Si
les dossiers des médecins à diplôme étranger ne sont pas bons, on leur donne un sursis à statuer,
des recommandations, et si malgré tout ils ne remplissent pas les conditions leur dossier est
rejeté." Et d?ajouter :"Ce qui agace les médecins français, c?est que ceux à diplôme étranger passent
au travers des mailles du filet du numerus clausus. Mais le système est comme cela, c?est un
acquis. Et puis il faut mettre un terme au double discours de la France qui, d?un côté, fait appel aux
médecins à diplôme étranger pour le fonctionnement des hôpitaux manquant de praticiens et qui, de
l?autre, veut qu?ils restent au bord de la route."
Le Dr Patrick Bouet, président du Conseil national de l?Ordre des médecins (Cnom), explique quant à lui
que la qualification des médecins...[pagebreak]
à diplôme étranger relève du domaine de compétence de l?Ordre. "Sur ces sujets, il y a toujours des
fantasmes,indique-t-il.Or nous sommes aujourd?hui dans une procédure de qualification très
stricte et codifiée qui répond à des exigences réglementaires et d?équivalences n?ayant pas de
caractère laxiste, générant des refus de spécialisation tout aussi douloureux pour les médecins
français que pour ceux à diplôme étranger. On travaille avec la Direction générale de l?offre de soins
pour ne pas introduire une certaine volatilité et veiller à ce que la réglementation d?application
permette de conserver la rigueur française.
"
La libre circulation des travailleurs est un des fondements de la construction européenne
"La formation de base entre tous les États membres de l?UE est reconnue , souligne Nora Berra,
députée européenne (UMP) et ancienne secrétaire d?État à la Santé. Ensuite, il appartient à l?État de dire
si les professionnels en question doivent acquérir des compétences supplémentaires. Certes,
des médecins à diplôme étranger viennent exercer en France, mais tout comme des médecins
français partent exercer dans le reste de l?UE. Donc soit on se donne les moyens de reconnaître les
compétences des professionnels, soit on remet en cause le principe même de libre circulation
des travailleurs, qui est un des fondements de la construction européenne. L?harmonisation des
formations et des références dans l?UE s?est faite par le haut, notamment à la demande de la
France. Nous devons désormais faire confiance à l?État pour qu?il garantisse le respect de ces
critères."
De leur côté, les médecins français diplômés avant la reconnaissance de la spécialité de médecine
générale en 2007 doivent demander à une commission départementale ordinale la reconnaissance de
cette spécialité. Elle se fonde sur les critères internationaux de l?Organisation mondiale des médecins
généralistes (Wonca), exigés par le Collège national des généralistes enseignants (Cnge) et appliqués
par le Cnom. Ceux qui ne remplissent pas les critères se voient refuser la spécialité, un refus qui touche
souvent les médecins à expertises particulières.
Si l?on prend l?exemple de l?urgentiste diplômé en France avant 2007, la commission de qualification va
s?assurer de sa polyvalence et lui demander s?il est médecin traitant, s?il prend en charge des personnes
âgées,...[pagebreak]
des femmes enceintes, s?il assure leur suivi au long court, etc."Comme généralement il va répondre
non, alors il ne satisfait pas aux critères de la Wonca, et ne peut donc pas obtenir la spécialité ,
constate le Dr Lévy. Et contrairement aux médecins à diplôme étranger, il ne va pas pouvoir
bénéficier de mesures compensatoires. Il n?y a donc pas le même traitement entre les deux
médecins." Et de poursuivre : "Les membres du Cnge restent crispés sur ces critères, je peux le
comprendre, car ils veulent maintenir la spécialité de médecine générale à un haut niveau de
formation, mais c?est parfois incohérent. Quand on est face à des médecins généralistes français
qui ont vingt ans d?expérience à qui nous sommes contraints de dire qu?ils ne répondent pas aux
critères, c?est une situation difficile à vivre pour eux. Nous pensons qu?il faut élargir les critères et
traiter au cas par cas."
"On ne peut pas donner la spécialité à des médecins qui n?ont pas les qualifications requises"
Actuellement, dans les faits, la non-obtention de la spécialité ne change pas grand-chose. "Mais qu?en
sera-t-il plus tard ?se demande le Dr Lévy. Lors de la prochaine convention ? D?ailleurs
actuellement, les médecins généralistes non spécialistes ne peuvent pas appliquer le C2. C?est
un vrai problème."
Le Pr Serge Gilberg, membre du conseil scientifique et du conseil d?administration du Cnge et directeur
du département de médecine générale de l?université Paris-Descartes, justifie l?existence de ces
critères en expliquant qu?un "diplôme a valeur de permis d?exercice ; il s?agit d?une responsabilité
sociétale, on ne peut pas donner la spécialité à des médecins qui n?ont pas les qualifications
requises d?autant plus que, parmi ceux qui l?exigent, il y a des médecins qui n?ont pas pratiqué
la médecine générale depuis trente ans et qui n?ont pas la même formation que les médecins
d?aujourd?hui. Les médecins à diplôme étranger sont eux aussi concernés, puisqu?on leur
demande une remise à niveau." Cependant, des réunions se dérouleraient actuellement entre les
membres des commissions, le Cnom et le Cnge dans le but de faire évoluer les critères de qualification audelà des critères de la Wonca.
Outre ce constat, tous s?entendent pour dire que la problématique est plus large et touche à la question du
numerus clausus. "Si l?on fait appel à des médecins à diplôme étranger, alors est-il logique que l?on
limite autant l?ouverture de la première année de médecine et les spécialités ?", se demande le
pharmacien Philippe Gaertner, président du Centre national des professions de santé (Cnps). Si les
étudiants français partent...[pagebreak]
faire leurs études dans un autre pays de l?UE, "ce n?est pas uniquement parce que le concours
d?entrée est plus facile mais aussi parce qu?ils peuvent ensuite s?insérer dans la voie
européenne et bénéficier de l?équivalence automatique, et là-dessus nous n?avons aucun contrôle"
, rapporte le Dr Rua. Et il précise : "Certes, la loi européenne permet cette libre circulation, mais il
faudrait que les critères de qualité soient les mêmes pour tous les médecins. Mais dès qu?on se
rapproche du dialogue sur l?immigration, on est diabolisé, taxé de racisme ".
"Ce sujet est très sensible, car on peut rapidement être accusé de xénophobie", confirme le Dr
Levy. Le Cnom estime quant à lui que le numerus clausus doit être repensé, car la France est confrontée à
trois flux, avec des jeunes nationaux qui passent par une sélection très sévère, des étudiants qui
contournent le numerus clausus en allant faire leurs études dans un autre pays de l?UE et qui ensuite
réintègrent le cursus français, et enfin les médecins à diplôme étranger. "On peut se demander si ce mode
de fonctionnement est adapté, explique le Dr Bouet. Il s?agit d?une question de nature politique. "
D?après le Dr Gaertner, il est prioritaire de"s?interroger sur cette logique de flux, car cette
problématique récente prend de l?ampleur dans le milieu médical et on ne peut pas laisser cela
en suspens".

http://www.egora.fr/sante-societe/syst%C3%A8me-de-sant%C3%A9/176176-numerus-clausus-plus-facile-d%C3%AAtre-mg-pour-les-%C3%A9trangers

Amine




A vrai dire Le Problème majeure est l'absence de volonté politique réelle pour trouver des solutions adéquates aux praticiens a DHUE mais aussi le poids du lobbying fait par les différentes associations ,syndicats et organisations ordinales .

Le seule obstacles face a leur doléances est la directive européenne qui oblige les commissions a plus d'ouverture et au respect des conventions communes en matière de niveau Minimal de formation :c'est a dire 6 ans d’études pour les doctorats en Allemagne ,suisse Belgique et autres pays.


Vous allez vous apercevoir a la lecture de cet article que le Dr P.L se lance dans une comparaison biaisée des le départ en comparants un Médecin a diplôme français délivré avant 2007 et qui souhaite faire reconnaitre son statut de spécialiste en Med G ,avec un Praticien a diplôme HEU qui souhaite être autorisé a s'inscrire a l'ordre et pouvoir se lancer dans une carrière ou une formation qualifiante type DES/CES et non pas leur DU DIU a deux balles.... study scratch lol! 


On comprends des lors que le SNPADHUE n'a pas bcp de moyens (hors les fameux 50 euro de cotisations) ,de défendre ses propositions face un consensus aux idées tordues...

Grosso-modo , ce qu'ils veulent c'est que les Médecins a titres français puissent circuler librement mais pas les autres (1 médecin/2 en région de lausanne et jura est un français  scratch sans parler des Internes mais aussi du canada.

Tout les moyens sont bons pour empêcher ses praticiens a exercer convenablement et se former et s'il arrivent a leur faire en tentera d'entacher leur image . Suspect  Suspect  Suspect 



Dr Bena



Bonjour Amine.
Moi qui compte m'inscrire à un DIU, je voulais savoir pourquoi ça ne serait pas une formation qualifiante?
Merci d'avance.

16au pays des droits de l'homme et de la transparence  Empty Désolé 02.03.14 16:24

Amine



Cher confrère , j'en suis désolé ,mais c'est une expérience perso

les DIU et DU ne vous ouvrent pas le droit a l'exercice contrairement aux Capacités,je parle bien évidement de la CAMU et la gériatrie, ils peuvent être un point de plus devant les commissions mais jamais au point de vous annuler les stages d’évaluations et autres exigences.

Par contre ils rendent plus charmant notre cv de même que les master etc.

si tu veux t'inscrire a quelques choses fait le en capacités tant quelle nous sont ouvertes .tu fera des économies .je pense même que faire des stages non rémunérer est plus avantageux (a mon avis).

Mais l’idéal c'est de faire comme les confrères latinos et orientaux un tour en Espagne ou Portugal ou l’Europe de l'est et tu homologue ton doctorat .

après tout entre l'ordre des infirmiers qui ne souhaite pas qu'on travestisse leur Métiers de "coeur" tongue  et le CNOM qui fait tout pour nous discréditer et bloquer ils nous reste a trouver d'autres voies  Arrow 

J'espere par ailleurs ,que ce foutu printemps n'arrive jamais dans mon pays , car j'envisage de passer le reste de ma vie  sunny sinon

17au pays des droits de l'homme et de la transparence  Empty Navré 02.03.14 16:31

Amine






Navré c'est ma période de blues ,car je viens de penser a la DASS de rhone alpes qui m'avait demandé la copie de mon titre de séjour + copie de diplôme (Bac+7 +DU +stages en france) pour être autorisé rentrer dans l'intimité des personnes âgées comme AS.

je vous le rassure , j'ai fuis loin très loin et fait ARC chez Pfizer a l’époque ou ils recrutés  afro 


Aller tenais bon

18au pays des droits de l'homme et de la transparence  Empty savez vous 02.03.14 16:37

Amine



sais tu qu'on suisse par exemple , le titulaire d'un doctorat en médecin a un Bac+6 et il n'a jamais touché un patient ni réalisé d'acte médical ,néanmoins il devient Médecin assistant avec tous les honneurs ,le salaires les formations de qualités etc.

Bcp d’étudiants français n'ayant pas réussi a faire un bon classement passent la bas pour faire un spécialité , ils suffit juste d'avoir un certificat de reconnaissance de la fin du deuxième cycle (6 année aussi) clown 

il ne faut pas se laisser abattre par leur mépris systématisé Assamett yerbah

xuilo

xuilo

amimera a écrit:
1 LES corrections sont soumises à un ordinateur
2 la grille de correction est tenue secrète
3 Il n' y a aucune possibilité de joindre les  membres du jury car souverains

c est sont des regles communes des epreuves en France, les etudiants francais sont soumis aux memes soucis lors leurs Internat.
renseignez vous comment se corrigent les epreuves
savez vous qu'il existent des mots clés?

http://уёбан.рф

xuilo

xuilo

Amine a écrit:qu'on s

il ne faut pas se laisser abattre par leur mépris systématisé  Assamett yerbah

surtout vous ne vous laissez pas! pourquoi alors rester ici? заебало чесслово

http://уёбан.рф

tankle



xuilo a écrit:
Amine a écrit:qu'on s

il ne faut pas se laisser abattre par leur mépris systématisé  Assamett yerbah

surtout vous ne vous laissez pas! pourquoi alors rester ici? заебало чесслово  
 cyclops cyclops cyclops ni gAvari

Amine



La reconnaissance de la spécialité MG inaccessible aux diplômés d’avant 2007 ?

Jacques Cofard

Auteurs et déclarations05 mars 2014





Paris, France – Sept ans après la reconnaissance de la médecine générale comme spécialité, s’insurge la Confédération des Syndicats Médicaux Français (CSMF), seulement 43% des généralistes sont reconnus comme médecins spécialistes.
La faute à qui ? La Confédération des syndicats médicaux français pointe du doigt des « oligarques de l’université », pour qui « il n’allait pas de soi que tous les praticiens diplômés de médecine générale, puissent prétendre automatiquement, et sans formalité, comme le souhaitait la CSMF, au titre de spécialiste en médecine générale ».

Car deux cas de figure se présentent : la reconnaissance de la spécialité en médecine générale pour les internes, diplômés d’un DES en médecine générale depuis 2007, est automatique. Pour ceux, parmi les généralistes, qui ont été diplômés avant la création du DES en médecine générale, la reconnaissance de la qualité de spécialiste est soumise à l’examen d’une commission de qualification, dépendante de l’Ordre des médecins. Et c’est là que le bât blesse, toujours selon la CSMF, les critères de reconnaissance de la spécialité de médecine générale étant devenus de plus en plus restrictifs ces dernières années : « la CSMF constate que, sous l’influence d’« ayatollahs » de la médecine générale, les commissions de qualification ont dérivé vers une complexification et se sont muées en machine à exclure. Ainsi de nouveaux critères ont été imposés, dont il n’avait jamais été question au départ ; comme le fait d’être médecin traitant, de satisfaire aux obligations de la PDS. »

43% de généralistes reconnus comme spécialistes…et les autres ?

Résultat : « Sept ans après la création officielle de la spécialité de médecine générale, moins de 43% des médecins généralistes en exercice sont qualifiés spécialistes. » Or, seuls les spécialistes en médecine générale ont le droit de coter le CS, les généralistes non reconnus se contentant du C.
Et « quelque 23 000 médecins d'exercice particulier (MEP) seraient relégués dans un « no man's land » ». Une injustice pour la CSMF, mais aussi pour le syndicat des médecins libres (SML) qui « demande ainsi un élargissement des critères d'accès à la spécialité de médecine générale et la création d’une nouvelle spécialité d'expertise spécifique avec options ». Pour le SML, il est absurde que tous les médecins qualifiés en médecine générale avant 2007 ne puissent obtenir la spécialité médicale.
Le syndicat de médecins généralistes MG France ne partage pas cet avis, et apporte son soutien aux universitaires conspués par la CSMF. « La spécialité de médecine générale s'obtient par la délivrance d’un diplôme universitaire (DES) obtenu à l'issu d'un internat qualifiant, ou par la reconnaissance de la spécialité par les autorités compétentes, les commissions de qualification de l'Ordre des médecins. »

Les critères s’appuient sur le référentiel métier de médecine générale

Pour le Pr Pierre-Louis Druais, président du collège de médecine générale, mis en cause par la CSMF, les critères de reconnaissance de la spécialité de médecine générale sont clairs, et ne sont pas devenus plus restrictifs : « Les critères des commissions de qualification n'ont pas changé. Ils s'appuient sur le référentiel métier de médecine générale. Les commissions, pour définir la spécialité de médecine générale, se basent sur ce référentiel ainsi que sur la définition de la médecine de premier recours, telle que la définit la loi HPST. »

Ce référentiel édicte que « les médecins généralistes - médecins de famille sont des médecins spécialistes formés aux principes de cette discipline [1]. Ils sont le médecin traitant de chaque patient, chargés de dispenser des soins globaux et continus à tous ceux qui le souhaitent indépendamment de leur âge, de leur sexe et de leur maladie ». L’article 36 de la loi HPST stipule que « les professionnels de santé, dont les médecins traitants cités à l'article L. 162-5-3 du code de la sécurité sociale, ainsi que les centres de santé concourent à l'offre de soins de premier recours » [2].

Inégalité de traitement entre médecins spécialistes et généralistes

Les notions de « médecin traitant », et de continuité des soins font bien partie de la définition du spécialiste de médecine générale. Or, selon le professeur Pierre-Louis Druais, certains MEP, pratiquant exclusivement un exercice particulier, comme l’homéopathie, ne pratiquent pas la médecine générale, telle qu’elle est définie. Pierre-Louis Druais conteste aussi le faible pourcentage de médecins généralistes reconnus comme spécialistes qui selon la CSMF ne représentent que 43% de la totalité des généralistes. La CSMF, en effet, inclut les généralistes qui exercent en établissements de santé, et ne sont pas des spécialistes en médecine générale, aux yeux du collège de médecine générale : « Les spécialités en médecine générale exercent en ambulatoire avant tout, qu’ils soient libéraux ou salariés. »
Mais le Dr Michel Chassang, le président de la CSMF, n’en démord pas : il existe une véritable inégalité de traitement entre médecins spécialistes et généralistes : « Un spécialiste peut s’arrêter de travailler dix ans et décider de ré-ouvrir un cabinet. Il n’aura de compte à rendre à personne, contrairement à un généraliste qui devra passer devant une commission pour se faire reconnaitre la qualité de spécialiste. C’est injuste ! »
Références

Conseil national de l’ordre de médecins. Référentiel de médecine générale.

Loi Hôpital, patients, santé et territoire. JO, 2009.

Amine



xuilo a écrit:
Amine a écrit:qu'on s

il ne faut pas se laisser abattre par leur mépris systématisé  Assamett yerbah

surtout vous ne vous laissez pas! pourquoi alors rester ici? заебало чесслово  



à 23 ans vous pouvez trouver un autre forum pour passer vos journées perdu ...

xuilo

xuilo

Amine a écrit:
à 23 ans vous pouvez trouver un autre forum pour passer vos journées perdu ...

et vous - à votre age vous vous limitez par ce forum - minable vase de larmes et morves?
c est avec vos propos de soit disant "injustice" vous perdez votre temps

http://уёбан.рф

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