ISOPTINE a écrit:SERIEUX??? ce n'est pas normal!
D'après le site service-public.fr :
"Le salarié a droit à une indemnité de fin de contrat (dite "prime de précarité") lorsque le CDD arrive à son terme et qu'il ne se poursuit pas par un CDI. Toutefois, dans certains cas, l'indemnité n'est pas versée.
Cas d'exclusion du bénéfice de l'indemnité
L'indemnité de fin de contrat n'est pas due dans les cas suivants :
si le salarié refuse un CDI pour occuper le même emploi ou un emploi similaire, avec une rémunération au moins équivalente,
rupture anticipée du contrat à l'initiative du salarié,
rupture anticipée du contrat due à la faute grave (ou faute lourde) du salarié ou à un cas de force majeure,
rupture du CDD au cours de la période d'essai,
emploi saisonnier ou emploi pour lequel l'usage exclut le recours à un CDI,
s'il s'agit d'un contrat destiné à favoriser le recrutement de certaines catégories de personnes sans emploi (contrat unique d'insertion (CUI), contrat de professionnalisation, CDD senior, par exemple),
contrat pour lequel l'employeur s'est engagé à assurer un complément de formation professionnelle au salarié,
contrat conclu avec un jeune pendant ses vacances scolaires ou universitaires."
Une fin de contrat de PAA ne figure pas dans les cas d'exclusion sus-cités, alors on y a droit!
Autres témoignages svp?
BONJOUR,
Prime due mais le CDD doit être d'une durée maximale de 1 an.
Dans ce cas, la prime de précarité de 10% des salaires bruts perçus est due conformément aux dispositions de l’Arrêté du 21 octobre 2003
relatif à l’indemnité de précarité prévue à l’article 12 et à l’indemnité différentielle mentionnée à l’article 13 du décret n° 2003-769 du 1er aout 2003 relatif aux praticiens et praticiens attachés associés.
Vous pouvez trouver l'arrêté sur internet.
Article 1
Les praticiens attachés et praticiens attachés associés exerçant dans le cadre d'un contrat d'une durée maximale d'un an ont droit à une indemnité destinée à compenser la précarité de leur situation lorsque la relation de travail n'est pas poursuivie au terme du contrat.
Article 2
Le montant brut de cette indemnité est égal à 10 % du total des émoluments bruts visés au 1° de l'article 14 du décret du 1er août 2003 susvisé, dus au titre du contrat en cours. Cette indemnité n'est pas soumise à cotisations IRCANTEC.
Article 3
Cette indemnité est versée en une fois dans un délai maximum de deux mois après la fin du contrat.