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Régionalisation du numérus clausus, renforcement des passerelles entre les études paramédicales et médicales et des droits des étudiants paramédicaux, passage en revue des principales mesures retenues pour les formations des professionnels de santé.
Soucieux d’améliorer ses relations avec les professionnels de santé, le gouvernement a annoncé, le jeudi 11 février 2016 à l’issue de la grande conférence santé, des mesures en faveur de leur formation. Régionalisation du numérus clausus, renforcement de la filière universitaire de médecine générale ou encore de nombreuses mesures en faveur des métiers paramédicaux, le Premier ministre Manuel Valls à dévoilé les différentes mesures retenues à l’issue des travaux.
Favoriser les passerelles entre les études paramédicales et médicales
Dès la rentrée 2016, il s’agit de permettre aux professionnels diplômés d’entrer en 2e ou 3e année d’études médicales. Les diplômés paramédicaux (infirmiers, kinés, etc.) pourront s’orienter vers des études de médecine sans passer le concours de la première année «à partir de 2017» et sous certaines conditions, a annoncé jeudi le Premier ministre. Un kinésithérapeute pourrait ainsi, sur la base d’un projet solide ou sur dossier, suivre des études de médecine pour devenir médecin rééducateur.
Les étudiants des formations paramédicales verront également leurs prestations sociales renforcées. Leurs droits seront progressivement alignés sur ceux des autres étudiants universitaires (restauration collective, logement étudiant, etc). Les exécutifs régionaux seront notamment «sensibilisés» à l’utilité d’un travail de convergence des droits aux bourses, très disparates pour les étudiants paramédicaux.
Le gouvernement veut également étudier les «conditions de déploiement d’une offre publique de formation pour toutes les professions de santé», afin de corriger les inégalités que subissent les étudiants des formations paramédicales, souvent délivrées dans des établissements privés à des tarifs exorbitants.
La régionalisation du numérus clausus va se poursuivre
La mesure, expérimentée fin 2015 dans une dizaine de régions déficitaires, sera poursuivie. Le nombre d’étudiants admis en 2e année de médecine à l’issue du concours sera fixé par région, et non plus par établissement, en fonction des besoins de santé. Objectif: améliorer la répartition territoriale des médecins.
Régionalisation du numérus clausus, renforcement des passerelles entre les études paramédicales et médicales et des droits des étudiants paramédicaux, passage en revue des principales mesures retenues pour les formations des professionnels de santé.
Soucieux d’améliorer ses relations avec les professionnels de santé, le gouvernement a annoncé, le jeudi 11 février 2016 à l’issue de la grande conférence santé, des mesures en faveur de leur formation. Régionalisation du numérus clausus, renforcement de la filière universitaire de médecine générale ou encore de nombreuses mesures en faveur des métiers paramédicaux, le Premier ministre Manuel Valls à dévoilé les différentes mesures retenues à l’issue des travaux.
Favoriser les passerelles entre les études paramédicales et médicales
Dès la rentrée 2016, il s’agit de permettre aux professionnels diplômés d’entrer en 2e ou 3e année d’études médicales. Les diplômés paramédicaux (infirmiers, kinés, etc.) pourront s’orienter vers des études de médecine sans passer le concours de la première année «à partir de 2017» et sous certaines conditions, a annoncé jeudi le Premier ministre. Un kinésithérapeute pourrait ainsi, sur la base d’un projet solide ou sur dossier, suivre des études de médecine pour devenir médecin rééducateur.
Les étudiants des formations paramédicales verront également leurs prestations sociales renforcées. Leurs droits seront progressivement alignés sur ceux des autres étudiants universitaires (restauration collective, logement étudiant, etc). Les exécutifs régionaux seront notamment «sensibilisés» à l’utilité d’un travail de convergence des droits aux bourses, très disparates pour les étudiants paramédicaux.
Le gouvernement veut également étudier les «conditions de déploiement d’une offre publique de formation pour toutes les professions de santé», afin de corriger les inégalités que subissent les étudiants des formations paramédicales, souvent délivrées dans des établissements privés à des tarifs exorbitants.
La régionalisation du numérus clausus va se poursuivre
La mesure, expérimentée fin 2015 dans une dizaine de régions déficitaires, sera poursuivie. Le nombre d’étudiants admis en 2e année de médecine à l’issue du concours sera fixé par région, et non plus par établissement, en fonction des besoins de santé. Objectif: améliorer la répartition territoriale des médecins.