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lettre au president pls explicite vos commentaires

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clara75



Monsieur le Président,


Très étonné par vos propositions, je ne peux m'empecher d'y répondre.

Vous proposez de remplacer le terme "recruter" par le terme "rémunéré". Voilà une curieuse idée!
En effet un ""recrutement" fait référence à une fonction, conséquence d'une compétence, alors que "rémunération" est une conséquence d'un contrat de travail entre un employeur et un employé.
Vous auriez pu par exemple essayer d'inclure les périodes de pratiques effectuées par les IDE dans le cadre de leurs différentes formations universitaires (Capacités)


Par ailleurs, vous passez beaucoup de temps à vouloir rattraper les candidatsqui n'ont pas la moyenne, alors même qu'ils peuvent repasser l'épreuve l'année suivante.


Enfin, vous contestez la date du 30 décembre 2011. Cette date parait pourtant judicieuse, dans la mesure où elle permet d'inclure les candidats potentiels historiques, limitant également l'arrivée de candidats opportunistes.
Vous auriez pu cependant défendre le droit pour les médecins non en poste au 31 décembre 2011 à leur corps défendant, de postuler à un emploi.


Finalement par votre système, vous proposez que des gens, qui ne sont pas médecins, puissent se présenter et etre reçu sans avoir la moyenne…


Je me pose la question de l'origine de vos propositions. Sont-elles le résultat comme d'habitude, d'avis partagés par une équipe, ou d'une initiative individuelle au service de quelque interet particulier?

M le Président,


Je reviens vers vous pour être plus explicite.

La problématique est double:


Pourquoi ne prendre en compte que des feuilles de paies avant le 3 aout 2010 comme traduction du mot "recruté" figurant dans la Loi?

En effet il existe d'autres manières d'exercer des activités médicales au sens de la Loi. Par exemple;

Stage pratique et théorique médical non rémunéré (médecins et IDE)
Formation continue médicale non rémunérée

Ces activités sont bien des fonctions médicales, effectuées sous le contrôle d'une hierarchie médicale, avec un travail effectif de médecin. Pour autant elles ne générent pas une feuille de paie.
Il doit étre possible d'identifier d'autres possibilités, élargissant le champ des validations.



Concernant la date du 31 décembre 2011.

Celle-ci parait essentielle. En effet sa suppression permettrait à des non médecins en France, médecins à l'étranger, ayant par le passé eu des activités temporaires en France de quelques mois et donc possesseur de feuilles de paies, et pourquoi pas dans les années 90 ! de présenter l'examen en France. Sous réserve qu'ils valident leurs 3 années cumulées de pratiques en France, ce qui leur est possible jusqu'en 2016.

Bien sûr pour ces candidats que j'ai nommé "candidats opportunistes", et qui ont bien raison de l'étre si on leur offre la possibilité, la note de 10 peut etre difficile à obtenir, d’où l'invraisemblable système de rattrapage que vous évoquez. 5 serait une note suffisante pour valider l'examen.

Je crois qu'il vaudrait mieux essayer d'inclure un maximum de PADHUE présents, plutôt que de favoriser le retour de ceux qui sont partis.

Cela se traduit également par la nécessité d'intégrer les PADHUE qui pour des raisons indépendantes de leur volonté (délai entre deux affectations, grossesse, maladie, congés non rémunérés,…) ne serait pas en poste à cette date. Cela étant dû au fait que personne ne pouvait prévoir cette date butoir, et que certains d'entre nous peuvent ne pas l'avoir anticipée.



Cette Loi est avant tout une Loi de régularisation pour les PADHUE installés en France, n'en faisons pas une usine à gaz, qui la détournerait sa fonction première.



aurelius


Admin

Cher collègue
En ce qui concerne le mot "recruté":
Nous avons déjà par le passé (en 2004,2005,2006) été confronté au ministère concernant ce sujet et les avis des juristes convergent sur le fait que 'recruté' au sens de Loi signifie l'existence d'un contrat de travail dans un carde légal (fontionnaire ou assimilé, Praticien attaché, assistant....)avec donc à la clé une fiche de paye. Les stages pratiques et autres formations continue non rémunérées qui certe peuvent avoir une valeur au sens universitaire, mais ne rentrent dans aucun cadre statutaire d'emploi ne peuvent pas être considéré comme des recrutements au sens de la Loi. Il s'agit là d'un problème purement juridique lié au cadre législatif actuel et non d'un refu de prendre en compte la réalité de l'exercice tel que vous le décrivez
En ce qui concerne la date du 31 décembre 2011:
Comme je l'ai la La probabilité qu'il y ait des personnes "profiteuse" exsite théoriquement certes, mais elle est extrèmement faible au regard du risque réel et effectif que faire courrir le maintient de cette date aux personnes "non profiteuses" entre ces deux risques nous avons préféré éviter le risque réel.
nous avons été contacté et sollicité par des personnes pouvant être victimes du risque réel et notre responsabilité syndicale nous impose d'être sensibles à leur situation. Par contre nous nous n'avons pas connaisasnce de personnes "profiteuses" à ce jour.
En ce qui concerne les modalités des épreuves:
La note éliminatoire a toujours existé. Avoir plus que cette note ne signifie pas qu'on est reçu. Dans le proposition qui est faite, Il faudra encore avoir obtenu dans le dossier titre-travaux service rendus une note qui permet compenser la différence avec la moyenne. Il s'agit là d'une proposition qui permet de corriger les comprtements parfois absurdes voire pervers de certains jury qui donnaient des notes à 9,95/20 donc faisait échouer des candidats sur des marges d'erreur contestables, alors qu'il s'agit d'un examen et non d'un concours.
Enfin je dirai qu'en tout état de cause le décret d'application ne peut pas sortir du cadre de la loi qui a été votée car il y a le risque d'un rejet par le conseil d'état. Il faut simplement pouvoir faire tirer partie à un maximum de PADHUE
Cordialement

clara75 a écrit:Monsieur le Président,


Très étonné par vos propositions, je ne peux m'empecher d'y répondre.

Vous proposez de remplacer le terme "recruter" par le terme "rémunéré". Voilà une curieuse idée!
En effet un ""recrutement" fait référence à une fonction, conséquence d'une compétence, alors que "rémunération" est une conséquence d'un contrat de travail entre un employeur et un employé.
Vous auriez pu par exemple essayer d'inclure les périodes de pratiques effectuées par les IDE dans le cadre de leurs différentes formations universitaires (Capacités)


Par ailleurs, vous passez beaucoup de temps à vouloir rattraper les candidatsqui n'ont pas la moyenne, alors même qu'ils peuvent repasser l'épreuve l'année suivante.


Enfin, vous contestez la date du 30 décembre 2011. Cette date parait pourtant judicieuse, dans la mesure où elle permet d'inclure les candidats potentiels historiques, limitant également l'arrivée de candidats opportunistes.
Vous auriez pu cependant défendre le droit pour les médecins non en poste au 31 décembre 2011 à leur corps défendant, de postuler à un emploi.


Finalement par votre système, vous proposez que des gens, qui ne sont pas médecins, puissent se présenter et etre reçu sans avoir la moyenne…


Je me pose la question de l'origine de vos propositions. Sont-elles le résultat comme d'habitude, d'avis partagés par une équipe, ou d'une initiative individuelle au service de quelque interet particulier?

M le Président,


Je reviens vers vous pour être plus explicite.

La problématique est double:


Pourquoi ne prendre en compte que des feuilles de paies avant le 3 aout 2010 comme traduction du mot "recruté" figurant dans la Loi?

En effet il existe d'autres manières d'exercer des activités médicales au sens de la Loi. Par exemple;

Stage pratique et théorique médical non rémunéré (médecins et IDE)
Formation continue médicale non rémunérée

Ces activités sont bien des fonctions médicales, effectuées sous le contrôle d'une hierarchie médicale, avec un travail effectif de médecin. Pour autant elles ne générent pas une feuille de paie.
Il doit étre possible d'identifier d'autres possibilités, élargissant le champ des validations.



Concernant la date du 31 décembre 2011.

Celle-ci parait essentielle. En effet sa suppression permettrait à des non médecins en France, médecins à l'étranger, ayant par le passé eu des activités temporaires en France de quelques mois et donc possesseur de feuilles de paies, et pourquoi pas dans les années 90 ! de présenter l'examen en France. Sous réserve qu'ils valident leurs 3 années cumulées de pratiques en France, ce qui leur est possible jusqu'en 2016.

Bien sûr pour ces candidats que j'ai nommé "candidats opportunistes", et qui ont bien raison de l'étre si on leur offre la possibilité, la note de 10 peut etre difficile à obtenir, d’où l'invraisemblable système de rattrapage que vous évoquez. 5 serait une note suffisante pour valider l'examen.

Je crois qu'il vaudrait mieux essayer d'inclure un maximum de PADHUE présents, plutôt que de favoriser le retour de ceux qui sont partis.

Cela se traduit également par la nécessité d'intégrer les PADHUE qui pour des raisons indépendantes de leur volonté (délai entre deux affectations, grossesse, maladie, congés non rémunérés,…) ne serait pas en poste à cette date. Cela étant dû au fait que personne ne pouvait prévoir cette date butoir, et que certains d'entre nous peuvent ne pas l'avoir anticipée.



Cette Loi est avant tout une Loi de régularisation pour les PADHUE installés en France, n'en faisons pas une usine à gaz, qui la détournerait sa fonction première.



Invité


Invité

aurelius a écrit:Cher collègue
En ce qui concerne le mot "recruté":
Nous avons déjà par le passé (en 2004,2005,2006) été confronté au ministère concernant ce sujet et les avis des juristes convergent sur le fait que 'recruté' au sens de Loi signifie l'existence d'un contrat de travail dans un carde légal (fontionnaire ou assimilé, Praticien attaché, assistant....)avec donc à la clé une fiche de paye. Les stages pratiques et autres formations continue non rémunérées qui certe peuvent avoir une valeur au sens universitaire, mais ne rentrent dans aucun cadre statutaire d'emploi ne peuvent pas être considéré comme des recrutements au sens de la Loi. Il s'agit là d'un problème purement juridique lié au cadre législatif actuel et non d'un refu de prendre en compte la réalité de l'exercice tel que vous le décrivez
En ce qui concerne la date du 31 décembre 2011:
Comme je l'ai la La probabilité qu'il y ait des personnes "profiteuse" exsite théoriquement certes, mais elle est extrèmement faible au regard du risque réel et effectif que faire courrir le maintient de cette date aux personnes "non profiteuses" entre ces deux risques nous avons préféré éviter le risque réel.
nous avons été contacté et sollicité par des personnes pouvant être victimes du risque réel et notre responsabilité syndicale nous impose d'être sensibles à leur situation. Par contre nous nous n'avons pas connaisasnce de personnes "profiteuses" à ce jour.
En ce qui concerne les modalités des épreuves:
La note éliminatoire a toujours existé. Avoir plus que cette note ne signifie pas qu'on est reçu. Dans le proposition qui est faite, Il faudra encore avoir obtenu dans le dossier titre-travaux service rendus une note qui permet compenser la différence avec la moyenne. Il s'agit là d'une proposition qui permet de corriger les comprtements parfois absurdes voire pervers de certains jury qui donnaient des notes à 9,95/20 donc faisait échouer des candidats sur des marges d'erreur contestables, alors qu'il s'agit d'un examen et non d'un concours.
Enfin je dirai qu'en tout état de cause le décret d'application ne peut pas sortir du cadre de la loi qui a été votée car il y a le risque d'un rejet par le conseil d'état. Il faut simplement pouvoir faire tirer partie à un maximum de PADHUE
Cordialement

clara75 a écrit:Monsieur le Président,


Très étonné par vos propositions, je ne peux m'empecher d'y répondre.

Vous proposez de remplacer le terme "recruter" par le terme "rémunéré". Voilà une curieuse idée!
En effet un ""recrutement" fait référence à une fonction, conséquence d'une compétence, alors que "rémunération" est une conséquence d'un contrat de travail entre un employeur et un employé.
Vous auriez pu par exemple essayer d'inclure les périodes de pratiques effectuées par les IDE dans le cadre de leurs différentes formations universitaires (Capacités)


Par ailleurs, vous passez beaucoup de temps à vouloir rattraper les candidatsqui n'ont pas la moyenne, alors même qu'ils peuvent repasser l'épreuve l'année suivante.


Enfin, vous contestez la date du 30 décembre 2011. Cette date parait pourtant judicieuse, dans la mesure où elle permet d'inclure les candidats potentiels historiques, limitant également l'arrivée de candidats opportunistes.
Vous auriez pu cependant défendre le droit pour les médecins non en poste au 31 décembre 2011 à leur corps défendant, de postuler à un emploi.


Finalement par votre système, vous proposez que des gens, qui ne sont pas médecins, puissent se présenter et etre reçu sans avoir la moyenne…


Je me pose la question de l'origine de vos propositions. Sont-elles le résultat comme d'habitude, d'avis partagés par une équipe, ou d'une initiative individuelle au service de quelque interet particulier?

M le Président,


Je reviens vers vous pour être plus explicite.

La problématique est double:


Pourquoi ne prendre en compte que des feuilles de paies avant le 3 aout 2010 comme traduction du mot "recruté" figurant dans la Loi?

En effet il existe d'autres manières d'exercer des activités médicales au sens de la Loi. Par exemple;

Stage pratique et théorique médical non rémunéré (médecins et IDE)
Formation continue médicale non rémunérée

Ces activités sont bien des fonctions médicales, effectuées sous le contrôle d'une hierarchie médicale, avec un travail effectif de médecin. Pour autant elles ne générent pas une feuille de paie.
Il doit étre possible d'identifier d'autres possibilités, élargissant le champ des validations.



Concernant la date du 31 décembre 2011.

Celle-ci parait essentielle. En effet sa suppression permettrait à des non médecins en France, médecins à l'étranger, ayant par le passé eu des activités temporaires en France de quelques mois et donc possesseur de feuilles de paies, et pourquoi pas dans les années 90 ! de présenter l'examen en France. Sous réserve qu'ils valident leurs 3 années cumulées de pratiques en France, ce qui leur est possible jusqu'en 2016.

Bien sûr pour ces candidats que j'ai nommé "candidats opportunistes", et qui ont bien raison de l'étre si on leur offre la possibilité, la note de 10 peut etre difficile à obtenir, d’où l'invraisemblable système de rattrapage que vous évoquez. 5 serait une note suffisante pour valider l'examen.

Je crois qu'il vaudrait mieux essayer d'inclure un maximum de PADHUE présents, plutôt que de favoriser le retour de ceux qui sont partis.

Cela se traduit également par la nécessité d'intégrer les PADHUE qui pour des raisons indépendantes de leur volonté (délai entre deux affectations, grossesse, maladie, congés non rémunérés,…) ne serait pas en poste à cette date. Cela étant dû au fait que personne ne pouvait prévoir cette date butoir, et que certains d'entre nous peuvent ne pas l'avoir anticipée.



Cette Loi est avant tout une Loi de régularisation pour les PADHUE installés en France, n'en faisons pas une usine à gaz, qui la détournerait sa fonction première.





Entièrement d'accord avec toi aurelus.. Et concernant l'augmentation de nombre de poste pour la liste A car la depuis des jours on ne parle que de la liste c

padhue75



seb802011 a écrit:
aurelius a écrit:Cher collègue
En ce qui concerne le mot "recruté":
Nous avons déjà par le passé (en 2004,2005,2006) été confronté au ministère concernant ce sujet et les avis des juristes convergent sur le fait que 'recruté' au sens de Loi signifie l'existence d'un contrat de travail dans un carde légal (fontionnaire ou assimilé, Praticien attaché, assistant....)avec donc à la clé une fiche de paye. Les stages pratiques et autres formations continue non rémunérées qui certe peuvent avoir une valeur au sens universitaire, mais ne rentrent dans aucun cadre statutaire d'emploi ne peuvent pas être considéré comme des recrutements au sens de la Loi. Il s'agit là d'un problème purement juridique lié au cadre législatif actuel et non d'un refu de prendre en compte la réalité de l'exercice tel que vous le décrivez
En ce qui concerne la date du 31 décembre 2011:
Comme je l'ai la La probabilité qu'il y ait des personnes "profiteuse" exsite théoriquement certes, mais elle est extrèmement faible au regard du risque réel et effectif que faire courrir le maintient de cette date aux personnes "non profiteuses" entre ces deux risques nous avons préféré éviter le risque réel.
nous avons été contacté et sollicité par des personnes pouvant être victimes du risque réel et notre responsabilité syndicale nous impose d'être sensibles à leur situation. Par contre nous nous n'avons pas connaisasnce de personnes "profiteuses" à ce jour.
En ce qui concerne les modalités des épreuves:
La note éliminatoire a toujours existé. Avoir plus que cette note ne signifie pas qu'on est reçu. Dans le proposition qui est faite, Il faudra encore avoir obtenu dans le dossier titre-travaux service rendus une note qui permet compenser la différence avec la moyenne. Il s'agit là d'une proposition qui permet de corriger les comprtements parfois absurdes voire pervers de certains jury qui donnaient des notes à 9,95/20 donc faisait échouer des candidats sur des marges d'erreur contestables, alors qu'il s'agit d'un examen et non d'un concours.
Enfin je dirai qu'en tout état de cause le décret d'application ne peut pas sortir du cadre de la loi qui a été votée car il y a le risque d'un rejet par le conseil d'état. Il faut simplement pouvoir faire tirer partie à un maximum de PADHUE
Cordialement

clara75 a écrit:Monsieur le Président,


Très étonné par vos propositions, je ne peux m'empecher d'y répondre.

Vous proposez de remplacer le terme "recruter" par le terme "rémunéré". Voilà une curieuse idée!
En effet un ""recrutement" fait référence à une fonction, conséquence d'une compétence, alors que "rémunération" est une conséquence d'un contrat de travail entre un employeur et un employé.
Vous auriez pu par exemple essayer d'inclure les périodes de pratiques effectuées par les IDE dans le cadre de leurs différentes formations universitaires (Capacités)


Par ailleurs, vous passez beaucoup de temps à vouloir rattraper les candidatsqui n'ont pas la moyenne, alors même qu'ils peuvent repasser l'épreuve l'année suivante.


Enfin, vous contestez la date du 30 décembre 2011. Cette date parait pourtant judicieuse, dans la mesure où elle permet d'inclure les candidats potentiels historiques, limitant également l'arrivée de candidats opportunistes.
Vous auriez pu cependant défendre le droit pour les médecins non en poste au 31 décembre 2011 à leur corps défendant, de postuler à un emploi.


Finalement par votre système, vous proposez que des gens, qui ne sont pas médecins, puissent se présenter et etre reçu sans avoir la moyenne…


Je me pose la question de l'origine de vos propositions. Sont-elles le résultat comme d'habitude, d'avis partagés par une équipe, ou d'une initiative individuelle au service de quelque interet particulier?

M le Président,


Je reviens vers vous pour être plus explicite.

La problématique est double:


Pourquoi ne prendre en compte que des feuilles de paies avant le 3 aout 2010 comme traduction du mot "recruté" figurant dans la Loi?

En effet il existe d'autres manières d'exercer des activités médicales au sens de la Loi. Par exemple;

Stage pratique et théorique médical non rémunéré (médecins et IDE)
Formation continue médicale non rémunérée

Ces activités sont bien des fonctions médicales, effectuées sous le contrôle d'une hierarchie médicale, avec un travail effectif de médecin. Pour autant elles ne générent pas une feuille de paie.
Il doit étre possible d'identifier d'autres possibilités, élargissant le champ des validations.



Concernant la date du 31 décembre 2011.

Celle-ci parait essentielle. En effet sa suppression permettrait à des non médecins en France, médecins à l'étranger, ayant par le passé eu des activités temporaires en France de quelques mois et donc possesseur de feuilles de paies, et pourquoi pas dans les années 90 ! de présenter l'examen en France. Sous réserve qu'ils valident leurs 3 années cumulées de pratiques en France, ce qui leur est possible jusqu'en 2016.

Bien sûr pour ces candidats que j'ai nommé "candidats opportunistes", et qui ont bien raison de l'étre si on leur offre la possibilité, la note de 10 peut etre difficile à obtenir, d’où l'invraisemblable système de rattrapage que vous évoquez. 5 serait une note suffisante pour valider l'examen.

Je crois qu'il vaudrait mieux essayer d'inclure un maximum de PADHUE présents, plutôt que de favoriser le retour de ceux qui sont partis.

Cela se traduit également par la nécessité d'intégrer les PADHUE qui pour des raisons indépendantes de leur volonté (délai entre deux affectations, grossesse, maladie, congés non rémunérés,…) ne serait pas en poste à cette date. Cela étant dû au fait que personne ne pouvait prévoir cette date butoir, et que certains d'entre nous peuvent ne pas l'avoir anticipée.



Cette Loi est avant tout une Loi de régularisation pour les PADHUE installés en France, n'en faisons pas une usine à gaz, qui la détournerait sa fonction première.





Entièrement d'accord avec toi aurelus.. Et concernant l'augmentation de nombre de poste pour la liste A car la depuis des jours on ne parle que de la liste c

Bonjour,

Je m'adresse à Aurelius en tant que responsable au sein du SNPADHUE, mais aussi à tous les PADHUES...cette loi est la loi de la régularisation, donc:

Pour la classe C: il faut demander l'autorisation de travail pour avoir cumuler les 3 ans, mais aussi lever tous les obstacles qui peuvent en découler, et qui empêchent les PADHUES de trvailler même avec l'autorisation:
- Supprimer la condition de centre agrée car le travail est le même, les malades sont les mêmes, et les chefs de service sont à égalité de responsabilité quelque soit le centre agrée ou pas)
- Faciliter l'intégration des non médicaux (avec un CV de quelqu'un qui n'a pas fait sa spécialité depuis 5-10 ans ou plus il aura jamais l'occaion d'être embauché!!
- Donner une grande importance à l'expérience, les études complémentaires, stages..etc dans le rattrapage.
- S'occuper des lauréats: il faut une solution pour les lauréats sans postes, accepter le travail accompli dans des centres publics non agrées, faciliter le passage devant les commissions pour constriure le dossier, racourcir les délais, et surtout après les la réussite d'un examen et faire 4 ans de travail normalement la réponse est positive (un complément de stage, formation adéquante oui, mais pas un rejet difinitif).

Pour la classe A: l'augmentation du nombre de candidats suceptible d'être reçu, et dans toute les spécialités.

Il faut négocier tous maintenant, aniciper les problèmes peuvent survenir après la loi, défendre tous les PADHUES (classe C ou A, candidats ou lauréats, et quelque soit la spécialité).

Bon courage pour les représentants dans les négociations!

scène de ménage



aurelius a écrit:Cher collègue
En ce qui concerne le mot "recruté":
Nous avons déjà par le passé (en 2004,2005,2006) été confronté au ministère concernant ce sujet et les avis des juristes convergent sur le fait que 'recruté' au sens de Loi signifie l'existence d'un contrat de travail dans un carde légal (fontionnaire ou assimilé, Praticien attaché, assistant....)avec donc à la clé une fiche de paye. Les stages pratiques et autres formations continue non rémunérées qui certe peuvent avoir une valeur au sens universitaire, mais ne rentrent dans aucun cadre statutaire d'emploi ne peuvent pas être considéré comme des recrutements au sens de la Loi. Il s'agit là d'un problème purement juridique lié au cadre législatif actuel et non d'un refu de prendre en compte la réalité de l'exercice tel que vous le décrivez
En ce qui concerne la date du 31 décembre 2011:
Comme je l'ai la La probabilité qu'il y ait des personnes "profiteuse" exsite théoriquement certes, mais elle est extrèmement faible au regard du risque réel et effectif que faire courrir le maintient de cette date aux personnes "non profiteuses" entre ces deux risques nous avons préféré éviter le risque réel.
nous avons été contacté et sollicité par des personnes pouvant être victimes du risque réel et notre responsabilité syndicale nous impose d'être sensibles à leur situation. Par contre nous nous n'avons pas connaisasnce de personnes "profiteuses" à ce jour.
En ce qui concerne les modalités des épreuves:
La note éliminatoire a toujours existé. Avoir plus que cette note ne signifie pas qu'on est reçu. Dans le proposition qui est faite, Il faudra encore avoir obtenu dans le dossier titre-travaux service rendus une note qui permet compenser la différence avec la moyenne. Il s'agit là d'une proposition qui permet de corriger les comprtements parfois absurdes voire pervers de certains jury qui donnaient des notes à 9,95/20 donc faisait échouer des candidats sur des marges d'erreur contestables, alors qu'il s'agit d'un examen et non d'un concours.
Enfin je dirai qu'en tout état de cause le décret d'application ne peut pas sortir du cadre de la loi qui a été votée car il y a le risque d'un rejet par le conseil d'état. Il faut simplement pouvoir faire tirer partie à un maximum de PADHUE
Cordialement

clara75 a écrit:Monsieur le Président,


Très étonné par vos propositions, je ne peux m'empecher d'y répondre.

Vous proposez de remplacer le terme "recruter" par le terme "rémunéré". Voilà une curieuse idée!
En effet un ""recrutement" fait référence à une fonction, conséquence d'une compétence, alors que "rémunération" est une conséquence d'un contrat de travail entre un employeur et un employé.
Vous auriez pu par exemple essayer d'inclure les périodes de pratiques effectuées par les IDE dans le cadre de leurs différentes formations universitaires (Capacités)


Par ailleurs, vous passez beaucoup de temps à vouloir rattraper les candidatsqui n'ont pas la moyenne, alors même qu'ils peuvent repasser l'épreuve l'année suivante.


Enfin, vous contestez la date du 30 décembre 2011. Cette date parait pourtant judicieuse, dans la mesure où elle permet d'inclure les candidats potentiels historiques, limitant également l'arrivée de candidats opportunistes.
Vous auriez pu cependant défendre le droit pour les médecins non en poste au 31 décembre 2011 à leur corps défendant, de postuler à un emploi.


Finalement par votre système, vous proposez que des gens, qui ne sont pas médecins, puissent se présenter et etre reçu sans avoir la moyenne…


Je me pose la question de l'origine de vos propositions. Sont-elles le résultat comme d'habitude, d'avis partagés par une équipe, ou d'une initiative individuelle au service de quelque interet particulier?

M le Président,


Je reviens vers vous pour être plus explicite.

La problématique est double:


Pourquoi ne prendre en compte que des feuilles de paies avant le 3 aout 2010 comme traduction du mot "recruté" figurant dans la Loi?

En effet il existe d'autres manières d'exercer des activités médicales au sens de la Loi. Par exemple;

Stage pratique et théorique médical non rémunéré (médecins et IDE)
Formation continue médicale non rémunérée

Ces activités sont bien des fonctions médicales, effectuées sous le contrôle d'une hierarchie médicale, avec un travail effectif de médecin. Pour autant elles ne générent pas une feuille de paie.
Il doit étre possible d'identifier d'autres possibilités, élargissant le champ des validations.



Concernant la date du 31 décembre 2011.

Celle-ci parait essentielle. En effet sa suppression permettrait à des non médecins en France, médecins à l'étranger, ayant par le passé eu des activités temporaires en France de quelques mois et donc possesseur de feuilles de paies, et pourquoi pas dans les années 90 ! de présenter l'examen en France. Sous réserve qu'ils valident leurs 3 années cumulées de pratiques en France, ce qui leur est possible jusqu'en 2016.

Bien sûr pour ces candidats que j'ai nommé "candidats opportunistes", et qui ont bien raison de l'étre si on leur offre la possibilité, la note de 10 peut etre difficile à obtenir, d’où l'invraisemblable système de rattrapage que vous évoquez. 5 serait une note suffisante pour valider l'examen.

Je crois qu'il vaudrait mieux essayer d'inclure un maximum de PADHUE présents, plutôt que de favoriser le retour de ceux qui sont partis.

Cela se traduit également par la nécessité d'intégrer les PADHUE qui pour des raisons indépendantes de leur volonté (délai entre deux affectations, grossesse, maladie, congés non rémunérés,…) ne serait pas en poste à cette date. Cela étant dû au fait que personne ne pouvait prévoir cette date butoir, et que certains d'entre nous peuvent ne pas l'avoir anticipée.



Cette Loi est avant tout une Loi de régularisation pour les PADHUE installés en France, n'en faisons pas une usine à gaz, qui la détournerait sa fonction première.




Tout à fait d'accord.

Demander aux PADHUE concernés d'avoir été recrutés avant le 3/08/2010 et avoir travaillé au moins 2 mois entre le 3/08/2010 et le 31/12/2011 n'est t'il pas une garantie suffisante pour le Ministère ??? Bien sur que si !!!

6lettre au president pls explicite vos commentaires  Empty ide discriminé 09.03.12 12:07

ide


Invité

Je suis émus par la réaction des confrères depuis quelques mois sur ce site.Je vous dirai que pour travailler de façon permanente comme IDE en france au delà de trois an il faut passer devant un jury dejà que psychologiquement il faut être armé car initialement on est médecin pas infirmier.Le législateur n'a pas été fou pour créer cette passerelle comme le dénigre plusieurs padhue.Je vous rappelle qu'un IDE travaillant par exemple en gériatrie valide facilement la capacité en gériatrie idem pour un ide qui travaille depuis un certain temps dans un service d'urgence.Je vous prend mon exemple je travaille depuis bientôt 5 ans comme ide de nuit et bénévolement j'ai un travail médical non rémunéré dans un chu de renom sur paris et je fait ce travail médical depuis bientôt 4 ans.Aussi je participe de façon bénévole à la formation des étudiants à la faculté.J'ai entre temps passe plusieurs DU/DIU et un master dans mon domaine en plus je suis inscris à la société française dans ma spécialité de base.De grâce arrête de dire que les ide ont oubliés la sémiologie ou de stigmatisé cette catégorie de padhue qui sont médecin à la basé et même spécialiste.Le ministère doit prendre ces personnes en compte et voir leur parcours et expérience pour valider les 3 ans requis pour la liste c DU/DIU capacités master Doctorat.J'attends vos réactions.

clara75



ide a écrit:Je suis émus par la réaction des confrères depuis quelques mois sur ce site.Je vous dirai que pour travailler de façon permanente comme IDE en france au delà de trois an il faut passer devant un jury dejà que psychologiquement il faut être armé car initialement on est médecin pas infirmier.Le législateur n'a pas été fou pour créer cette passerelle comme le dénigre plusieurs padhue.Je vous rappelle qu'un IDE travaillant par exemple en gériatrie valide facilement la capacité en gériatrie idem pour un ide qui travaille depuis un certain temps dans un service d'urgence.Je vous prend mon exemple je travaille depuis bientôt 5 ans comme ide de nuit et bénévolement j'ai un travail médical non rémunéré dans un chu de renom sur paris et je fait ce travail médical depuis bientôt 4 ans.Aussi je participe de façon bénévole à la formation des étudiants à la faculté.J'ai entre temps passe plusieurs DU/DIU et un master dans mon domaine en plus je suis inscris à la société française dans ma spécialité de base.De grâce arrête de dire que les ide ont oubliés la sémiologie ou de stigmatisé cette catégorie de padhue qui sont médecin à la basé et même spécialiste.Le ministère doit prendre ces personnes en compte et voir leur parcours et expérience pour valider les 3 ans requis pour la liste c DU/DIU capacités master Doctorat.J'attends vos réactions.

voici ce que le CNG présente sur son site :

Selon le DECRET n°2007-196 du 13 février 2007, ARTICLE 06 et 11



L’expérience professionnelle :
Est-il possible de prendre en compte l’expérience professionnelle pour se présenter à un concours externe ?
Les dispositions du Décret n° 2007-196 du 13 février 2007 précité (article 6) stipule que « toute personne qui justifie d’une activité professionnelle, salariée ou non, exercée de façon continue ou non, équivalente à une durée totale cumulée d’au moins trois ans à temps plein et relevant de la même catégorie socioprofessionnelle que la profession à laquelle la réussite au concours permet l’accès, peut faire acte de candidature à ce concours externe. »
Quelles pièces doit-on fournir pour que son expérience professionnelle soit prise en compte pour un concours ?
Le candidat qui demande la prise en compte de son expérience professionnelle afin de se présenter à l’un des concours administratifs nationaux organisés par le C.N.G. doit produire :
- une copie de son contrat de travail,
- un descriptif détaillé de l’emploi tenu, du domaine d’activité, de son positionnement au sein de l’organisme employeur, du niveau de qualification nécessaire ainsi que des principales fonctions attachées à son emploi.
Lorsque les documents ne sont pas rédigés en français, le candidat doit produire une traduction certifiée par un traducteur agrée"

Une attestation de fonction, une convention de stage represente un contrat, et suffisent largement

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