Prolongation de l'activité des médecins étrangers
Les Echos - 23 décembre 2011; Impact Santé - 22 décembre 2011
Le ministère de la Santé vient d'émettre une instruction maintenant temporairement la possibilité d'exercer en France pour les quelque 2000 à 3000 médecins diplômés hors Union européenne, annoncent Les échos
. L'objectif est de "ne pas fragiliser la continuité du fonctionnement des établissements publics de santé, qui dépend en partie de ces praticiens", explique le ministère. Une nouvelle loi devra officialiser cette instruction. Par ailleurs, l'Association des médecins à diplôme hors Union européenne évoluant sur des postes non médicaux (AMHUE) s'élève contre la "discrimination" qui existe entre les praticiens exerçant des activités médicales et ceux occupant des postes paramédicaux, de recherche clinique, dans l'industrie pharmaceutique ou dans l'enseignement, les premiers pouvant passer des examens de vérification des connaissances, contrairement aux seconds. L'association propose des installations dans les déserts médicaux en échange d'une régularisation du statut de ces professionnels, relève impact santé
Les Echos - 23 décembre 2011; Impact Santé - 22 décembre 2011
Le ministère de la Santé vient d'émettre une instruction maintenant temporairement la possibilité d'exercer en France pour les quelque 2000 à 3000 médecins diplômés hors Union européenne, annoncent Les échos
. L'objectif est de "ne pas fragiliser la continuité du fonctionnement des établissements publics de santé, qui dépend en partie de ces praticiens", explique le ministère. Une nouvelle loi devra officialiser cette instruction. Par ailleurs, l'Association des médecins à diplôme hors Union européenne évoluant sur des postes non médicaux (AMHUE) s'élève contre la "discrimination" qui existe entre les praticiens exerçant des activités médicales et ceux occupant des postes paramédicaux, de recherche clinique, dans l'industrie pharmaceutique ou dans l'enseignement, les premiers pouvant passer des examens de vérification des connaissances, contrairement aux seconds. L'association propose des installations dans les déserts médicaux en échange d'une régularisation du statut de ces professionnels, relève impact santé